Rancel (Sayon & Kratos)

Je me prépare a riposter a son coup

Jet d'esquive : Sayon a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

Tu évites son poing au dernier moment. Le garde s'énerve.

"Ah, tu veux jouer au malin, hein ? M'énerve pas !" Il saisit un gros baton et t'attaque.
Maitre du monde a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

*il est divertissant ce garde*

Je me prépare a contre-attaquer son attaque.

Jet d'esquive : Sayon a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

Tu évites encore son coup de baton. Le type dans l'autre cellule semble beaucoup s'amuser. Le garde commence à hurler :

"TU AGGRAVES TON CAS ! TU VAS SOUFFRIR !"

De toute sa force, il te tape encore une fois.
Maitre du monde a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

*Il s'énerve on dirait*

Encore une fois, je tente de contre-attaquer son attaque.

Jet d'esquive : Sayon a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

Ton évites encore de justesse le coup de baton. Le type a côté éclate de rire. Le garde vocifère.

"TU VAS VOIR TOI AUSSI APRES ! ET TOI, ARRETE CA OU JE TE TUE !"
Il jette son baton et tente encore une fois de te mettre un coup de poing.
Maitre du monde a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

je tente encore de contre-attaquer son attaque.

Jet d'esquive : Sayon a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

D'un geste vif, tu lui attrape le bras, le tire en avant, et pousse sa tête vers le mur. Au final, un bruit sourd retentit lorsque tu lui éclate la tête conte le mur. Il est assommé, le front ouvert.
L'autre prisonnier parait impressionné.
"Whaaaa, t'es fort en fait ! T'as eu l'air de bien t'amuser ! Va chercher les clés et libère moi s'il te plais ! Je te donnerais quelques pièces en échange !"

*Super si il fallait que je l'impressionne pour gagner son respect c'est gagné il me semble*

Je sort de ma cellule, laissant le garde inconscient dans celle-ci et part prendre les clés de la cellule voisine. Je m'approche de la cellule et dit :

"Pas de coup fourré en sortant ou je pourrais te mettre dans le même état que lui."

L'homme sourit, se veut rassurant.

"Ne t'inquiètes pas, c'est pas mon genre ! Mais si tu veux être riche, on va faire une bonne équipe ! Je suis voleur de niveau 2, j'ai plein de dextérité pour voler les gens... On marche ensemble ? On fait 50/50, je vole les honnêtes gens et tu nous défend au cas où on se fait taper dessus."

J'ouvre sa cellule et lui dit :

"C'est d'accord, faisons équipe."

*Ce voleur ne m'inspire pas confiance, je vais le surveiller mais il peut m'être utile*

Il te serre la main, l'air enthousiaste et dit :
"Je pense qu'ensemble, on peut aller loin. Ensemble, tout est possible !"

Il se dirige discrètement vers la porte de la caserne.

"C'est bon y'a personne on peut sortir !" puis il passe la porte et disparait de ton champ de vision. En sortant, il te fais signe de le suivre.

Je le suis en dehors de la caserne.

Il continue le long du chemin, et trace tout droit, alors que la route tourne à gauche. Il regarde sans cesse derrière. Au bout de 20 bonnes minutes, vous êtes à bonne distance du village. Le soleil est en train de se coucher, il propose de faire une halte. Et au moment où tu te demandes où sont tes armes, il sort tes saïs et tes shurikens de ses manches et poches.

"On dit merci !" lance-t-il avec un clin d'oeil. "Je vais chercher du bois sec là-bas, essaie de trouver à manger en chassant. Je pense que tu peux tuer du gibier avec tes shurikens. Rendez-vous ici dans 30 minutes."

*Pas mal, j'ai bien fait de le libérer*

Je dit, avant de partir chasser :

"Merci d'avoir penser a mes armes."

Je partit donc chasser.

Au bout de dix minutes dans les bois, tu entends un bruit proche. Tu t'arrêtes et tu vois une biche à quelques mètres de toi. Elle n'a pas l'air apeurée, mais elle ne s'approche pas plus.

Je décide d'envoyer un shuriken pour l'avoir avant qu'elle ne bouge

jet d'attaque : Sayon a effectué 1 lancé(s) d'un (Dé de 20.) :

En un éclair, tu dégaines un shuriken et l'envoie dans le cou de l'animal, qui tente de s'enfuir mais tombe au bout de trois pas, trop affaiblie.

Je m'approche de la bête et m'accroupis pour pouvoir la mettre sur mes épaules et la ramener au campement.

*Pas mal, on aura de quoi manger avec sa au moins*

En repartant, je cherche du regard quelques lapins pour pouvoir compléter notre repas.

Les petits mammifères sont trop rapides pour toi et se cachent avant que tu n'arrives.

De retour au campement, tu vois le voleur revenir lui aussi, les bras chargés de petit bois sec.
Il admire ta prise et acquiesce d'un signe de tête approbateur.

"Eh bin pas mal ! Ca va nous faire un bon petit repas !"
Il allume un petit feu à l'aide d'un briquet. La nuit tombe, et ton compagnon fabrique un système pour rotir l'animal. En mangeant, il t'interroge.

"Alors, tu viens d'où ? Pourquoi t'es parti de chez toi ?"

"Je viens d'un petit village au sud de Frémont. Je suis parti de chez moi car mon village a été brulé par des bandits.Et toi d'où viens-tu ?"

Il avale son morceau de gibier rôti et te répond :
"Moi, je suis parti parce que mes parents en avaient marre de moi. Je ne faisais rien, j'avais envie de rien faire. Juste de partir à l'aventure. Alors un soir, on s'est disputés, et mon mère m'a jeté dehors. Il m'a donné un peu d'argent, une arme, un sac et m'a dit de revenir dans 10 ans, pour voir ce que je serais devenu. Ca fait presque deux ans que je suis parti... Je vole pour survivre. Et ça ne me dérange pas spécialement."

Tout en avalant un morceau de rôti, je lui réponds :

"Et qu'as tu volé pour te faire attraper par les gardes. Quelque chose d'important ou seulement une personne qui t'as dénoncé de l'avoir volé ?"

Il sourit, l'air un peu coupable :
"Je me suis installé à l'auberge et j'ai cambriolé 7 ou 8 maisons. Les bouseux sont plus riches qu'ils n'y paraissent dans le coin ! Regarde ça !"

Il prend un sac de toile posé un peu plus loin et déverse son contenu. Une cascade d'or et d'argent en sort. Des assiettes, gobelets, couverts, bijoux, pièces s'entassent. Le voleur te jette un regard qui veut dire "Pas mal hein ?". Tu t'apprêtes à répondre lorsqu'il fait signe de te taire. Il a l'air de tendre l'oreille. Il dégaine une dague et te fait un signe de tête éloquent.

Je pose mes mains sur mes saï, guettant aux alentours le moindre geste suspect, je regarde de temps en temps le voleur au cas où il aurait déjà repéré d'où provenait ce bruit.